Des échanges sur Messenger sont devenus des preuves de culpabilité d'une mère de famille dans un procès aux États-Unis. Sur cette messagerie, cette dernière expliquait à sa fille de 17 ans souhaitant se faire avorter en dehors des délais légaux qu'elle était parvenue à se procurer des médicaments pour interrompre sa grossesse. Les deux femmes n'avaient pas sélectionné l'option de chiffrement de la messagerie de Facebook, une option qui les aurait mis à l'abri d'une telle situation.